Les journalistes pigistes ont été les premiers touchés par la baisse d'activité que subissent les médias français dans le contexte d'épidémie de coronavirus. Ce sont eux, qui, les premiers, ont vu leur articles annulés, leurs commandes freiner ou même s'arrêter brusquement.
Tous ceux qui sont affectés par ces baisses ou ces absences de travail doivent bénéficier des mesures de chômage technique mises en place par l'État et demandées par les entreprises.
Nous, journalistes, pigistes ou titulaires, demandons à l'État d'étendre clairement ces mesures aux journalistes pigistes. Nous, journalistes, pigistes ou titulaires, demandons instamment à nos employeurs d'inclure les pigistes dans leur application de ces mesures.